Retour sur la soirée du 7 février dernier, via l’objectif du photographe Mic Pino, alors que Onyx et Les Bas-Vilains étaient en prestation à Limoilou. Plus de 150 personnes se sont déplacées à la Source de la Martinière, malgré le froid polaire.
Retour : Les Bas-Vilains
Après des performances de Madmic et Watts qui ont réchauffé le plancher alors que cumulaient les convives, Les Bas-Vilains et DJ King Ceaze ont livré une performance intense de 25 minutes sans interruption, incorporant même deux morceaux remix du groupe Blitzkrieg de Beeyoudee. Devant la réponse du public, Les Bas-Vilains en ont également profité pour tester du nouveau matériel inédit, après plusieurs mois d’absence de la scène. Un retour en force pour le duo de la Basse-Ville formé de L’Incroyable Seif et Beeyoudee.
Retour : Onyx
Sticky Fingaz et Fredro Starr ont ensuite pris d’assaut le stage de La Source de la Martinière, livrant plus que la marchandise, avec une rafale de bombes devant un public des plus réceptifs. En raison d’un problème avec leur DJ habituel, c’est finalement DJ King Ceaze qui a eu le plaisir d’orchestrer le set des Mad Faces. Les légendes de New York ont semblé surpris de l’accueil chaleureux et de l’énergie sulfureuse des gens présents, louangeant plusieurs fois »Québec city! » pendant leur performance.
En plus de la chimie entre Onyx et la foule, le son et l’éclairage étaient particulièrement on point, donc tout était réuni pour une soirée mémorable. Un des excellents shows hip hop produits dans les dernières années à Québec.
Retour : La soirée
Le spectacle de presque une heure s’est terminé dans la nuit, alors qu’une bonne partie des individus présents sont restés tard après pour festoyer. Pour une fois, des gens d’un peu tous les styles et de tous les crews se sont regroupés pour une cause commune : la bonne musique. Une soirée bien arrosée et emboucanée qui marque une autre réussite dans le catalogue des Productions de la Martinière. À noter que plus le taux de participation est élevé dans les shows hip hop old school, plus il risque d’y en avoir d’autres.